
La consigne officielle depuis janvier, était de ne souffler mot des manifestations du bassin minier, jusqu'au débordement de vendredi où la police a commencé à tirer sur la foule tuant au passage un jeune et blessant cinq autres.Ce sordide dénouement qui a commencé à attirer l'attention des médias étrangers a contraint enfin le gouvernement à se prononcer. Voilà comment ce que celui-ci communique les faits:
"conformément
à la loi, par les forces de l’ordre, les éléments perturbateurs n’ont
pas obtempéré,...
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