
Du temps de Zaballah, le voyage d'un officiel au golfe signifiait courbette, léchage de bottes et atteinte à la souveraineté. Les Bensimpsons criaient au scandale et à la trahison nationale. Aujourd'hui avec notre sympa premier ministre, c'est tout autre chose...C'est que tout simplement avec Jômaa, il ne s'agit plus de vendre le pays aux wahhabites. Il est plutôt question de rendre la Tunisie attractive aux investisseurs étrangers. A l'appui, un plan de com bien rodé qui rappelle combien la Tunisie est belle, intelligente, ouverte...
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