Commentaires sur وزارة التّلفيق
- ils sont passés ou bob, Libre enfin , athena , arnouba et amilcar
- @Tounsi waqef
Je ne sais pas pour les autres Cher Ami. De mon côté, une raison aussi simple que dramatique: un chagrin d’amour qui a tourné à la déchirure. Voyez-vous, depuis que Sihem Badi nous a quittés, la terre s’est fendue sous mes pieds.
Plus sérieusement, au-delà de pressantes obligations professionnelles, j’ai l’impression que tout ce qui devait être dit l’a déjà été. Parfois deux fois. Parfois mille. Parfois ad nauseam.
Sauf peut-être une chose: une conclusion a ce débat stérile sur l’économie, qui a le don de m’irriter. Non pas tant par ses faux semblants. Non pas tant par son faux romantisme. Non pas tant pour ses rêveries. Et pourquoi en seraient-elles la cause? Pourquoi priver ceux qui en ont les moyens de rêver? Pour la simple raison que les gueux, les miséreux, eux ne peuvent pas se permettre ce luxe? Pour la simple raison que ce sont ces mêmes gueux, ces mêmes miséreux, qui finissent toujours par payer les pots cassés par ceux qui leur veulent du bien?? Non, I don’t think so.
Non, il m’irrite par son manichéisme: nous les tendres, nous les généreux, nous les défenseurs de la veuve et de l’orphelin, contre ces ogres insensibles à la misère, aveugles devant la détresse, serviteurs des intérêts du capitalisme à l’appétit sans fin.
Cette conclusion, je vous la livre. Et comme le hasard fait souvent bien les choses, elle prend la forme d’une épitaphe. Elle ne vient pas d’un prix Nobel, mais reflète un bon sens qui n’a rien à envier aux nobels. Jordan Belfort l’aurait prononcée, mais c’est de la bouche de Leonardo DiCaprio dans le Wolf of Wall Street qu’elle gagne toute sa charge destructrice. Elle nous dit ceci :
There is no nobility in poverty. I’ve been a poor man, and I’ve been a rich man. And I choose rich every fucking time!!! - J'ai pris le même avion que Libre enfin, il m'a laissé sur le tarmac et il est passé par le salon VIP pour retrouver sa dulcinée Sihem B. (non, ce n'est pas une enseigne de fringues, et le B n'est pas l'initiale de bordel!). Et il a envoyé un commentaire avec le titre révélateur ''Tounsi Mwaqef''... C'est de la provoc! Il va avoir de mes nouvelles. Enfin, on na pas pris le Boeing 777 malaisien, c'est déjà bien.
- @Bob
Cher Ami, tu sais que tu peux nous faire confiance. Soulage ta conscience. Parle-nous. Raconte-nous ce que t’as fait pendant toute cette abstinence. Qu'est ce qui a pu te traumatiser ainsi? Ne me dis pas que tu as suivi le séminaire Que Choisir de Abu Abdullah Attorcho9ani sur imtaa3 azzamaan 3anil mouthballing beina AlGrannies wal Gholmaan!!! Car, vois-tu, l’erreur est révélatrice. Entre Tounsi Waqef et Tounsi Mwaqqef, y’a quand même, comment dirais-je, une…………longueur.
- La valeur travail étant en voie de disparition en tunisie, un slogan " Tunisiens, enrichissez vous" pourrait contrairement à la Chine ne pas se solder par un développement industriel rapide mais par un boom du racket, de la prostitution et du marché noir.
Faire bosser de jeunes " diplômés" tunisiens en Tunisie me rappelle à quel point je suis devenu Européen. Cela me donne parfois aussi envie de mettre en application mes cours de Krav Maga. Pourvu que l'UGTT ne lise pas mon commentaire.
Vive la Tunisie, un pays moyen habité par un peuple qui oscille entre Libre Enfin et Brahim Bassas. Malheureusement, ces écarts extrêmes ne nous éloignent jamais collectivement d'une petite moyenne, flat.
Désespérant ? Pas vraiment, d'un point de vue développement durable il faut des pays moyens comme la Tunisie voir en dessous de la moyenne pour compenser les émissions de CO2 de l'Asie qui avance.
La seule bonne nouvelle c'est que Libre Enfin est de retour. - Bonjour,
C'est vrai que les caricatures de " Z " sont éloquentes, mais le plus de ce blog, c'est aussi les commentateurs fidèles qui apportent une touche de réflexion sur la société tunisienne qui en ce moment est au bord du gouffre.
@Amilcar :je vous rejoins sur le peu de capacités des Tunisiens à faire de la Tunisie un dragon économique: il y'a des réussites individuelles mais une quasi-faillite collective.
@Libre enfin et Bob :heureux de lire vos commentaires... - Si vous ecrrtivez en arabe , je j'ouvre pas votre couriel, p'asque moi je ne suis pas arabe, JE SUIS AMAZIGFH. Et il faut que vous pensiez si vaut mieux la rire o se metre aux cotees du peuple, meme si vous pensez que vous ne soient des berberes opu AMAZIGH. IL VOUS FAUIT DEMANDER(VOIR QUESTIONER LES AILLEUX OU LES VIEUS PÒUR QUE ON VOUS RACONTE CA QU'ON VECU EUX. JE VOUS EN PRIE DE PENSER DANS CET DIRWECCION. MOI PUR MA PART JE VOUS DEMANDE PARDONM POUR LA FATALE DICTIOPN ET LES FAUTE DE ORTOGRAPHIOE ET DE SINTAXE. MOI JE SUIS AMAZIGH ET ESPAGNOLE , ¡MAIS JAMAIS ARABE, MOI JE SUIS AFRICAIN. UN AQMAZIGFH QUI JAMAIS DOUBLE LES GENOUX. TUDART I TAMAZIGHT D IMAZIGHEN
Nouveau commentaire