10 mai 2017

Le château de Carte(hage) en péril

Rien ne va plus au Bled. Le président Essebsi, Le papi-Macron Tunisien, élu pour faire barrage aux islamistes et pour ses prétendues qualités de grand commis de l'Etat, est accusé d'être le responsable du pourrissement général de la situation. Encensé au Bkhour par la bourgeoisie Ben Simpsonnienne et les milieux d'affaire, celui qu'on nomme affectueusement Bajbouj, déçoit même ses plus fervents défenseurs. On ne retient de son mandat que les quelques discours d'apothicaire de médina ponctués de versets de Coran, puis surtout ses... [Lire la suite]
28 avril 2017

Le 3ième projet de réconciliation avec la corruption

Béji Caïd Essebsi, Le Macron -91 ans- Tunisien, depuis qu'il fut élu président (par le vote utile contre l'épouvantail islamiste) n'a de seule obsession que de faire passer sa loi de réconciliation nationale. Pour la troisième fois, le locataire de Carthage nous sort de son chapeau magique cette même loi, qui au nom de la relance économique, veut amnistier une génération d'hommes d'affaires corrompus qui ont gangrené le marché public et l'administration (voir ici).Son insistance à vouloir faire voter son projet de loi en ce... [Lire la suite]
05 mai 2016

DSK en renfort de Bajbouj et Zaballah !

Chers amis, après avoir fait ma star de Carthage à Cambrai*, je reviens à la Sebkha perdu et paumé. Je ne comprends plus rien à la politique tunisienne du moment. Je n'y comprends rien car aussi je n'y crois plus. Les partis nous ont trahi. En Tunisie comme partout ailleurs, se pose sérieusement la question d'une révolution mondiale contre la dite démocratie représentative, désormais minée par le mariage consommé du politique et du fric. Les idéaux, qui jadis guidaient les partis, ont cédé la place à des ambitions d'experts comptables... [Lire la suite]
20 juillet 2015

le règne de ZABAjboujALLAH

Béji Caïd Essebsi, apothicaire de médina, séducteur de bourgeoise et vendeur de formules toutes faites, administre à petite dose son poison tue-la-révolution. Une fois installé derrière le comptoir de sa boutique présidentielle, ce chimiste de Zaouïa n'a eu pour seule obsession que la réhabilitation du business traditionnel. Ça le démangeait depuis le début. C'était, semble-t-il, sa seule et unique mission: Réhabiliter l'ancien régime, restaurer les vieilles habitudes et blanchir les vieux caïds...sa pilule magique, celle qu'il croit... [Lire la suite]