
Dans la tragédie Syrienne qui risque de se transformer en conflit international, la Tunisie semble avoir joué le rôle du petit grain de sable qui a grippé la machine toute entière. Le hasard a voulu que le premier acte soit inauguré à Sidi Bouzid, par l'immolation d'un jeune homme désespéré. Ce petit coup de briquet a déclenché un vent de révolutions sur toute la région. 5 ans après, face à l'échec de la classe politique tunisienne et la déconfiture générale du monde arabe, le mot révolution à lui seul devient aussi amer et douloureux...
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