
Certes, c'est toujours plus sympathique pour le premier pays des révolutions arabes, d'avoir installé à la présidence un ovni politique à la place d'un corrompu spaghetti ou d'une Abir Moussi. Mais quand même, un alien reste un être imprévisible. Même le personnel politique qui l'entoure demeure aussi perplexe que les scientifiques sur le métabolisme, l'anatomie, le mode de reproduction et la psychologie de cette entité venue d'aillleurs. Depuis son installation à Carthage, les tunisiens commencent sérieusement à douter de la capacité...
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