PROJET D'INVESTISSEMENT ET PARTENARIAT<br /> <br /> <br /> <br /> Tout le plaisir est pour moi de prendre contact avec vous.<br /> <br /> <br /> <br /> En effet, je suis Monsieur Dominique AGOUN , consultant et je<br /> <br /> <br /> <br /> représente un groupe d'investisseurs étrangers .<br /> <br /> <br /> <br /> Nous voulons un partenariat portant sur les investissements à but<br /> <br /> <br /> <br /> lucratif dans votre pays et dans les domaines suivants :<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> - l'industrie<br /> <br /> <br /> <br /> - l'immobilier<br /> <br /> <br /> <br /> - les chaines hôtelières - l'énergie renouvelable<br /> <br /> <br /> <br /> NB : Je suis prêt à accepter d'autres types de proposition<br /> <br /> <br /> <br /> d'investissements. Au plaisir de vous lire,et je vous prie de me<br /> <br /> <br /> <br /> contacter à mon adresse mail privé : consultantdominique6@gmail.com <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> M Dominique AGOUN

je n'ai pas l'habitude de parler de moi, ce n'est pas ma personne qui m'intéresse, les sans-grades et les droits de l'homme, oui, passionnément et depuis que j'ai eu une raison de vivre. Gauche et droite, connais pas, partis politiques non plus. Quant à Saint-Tropez ce n'est pas mon lieu de villégiature, c'est un m'as-t-vu fait sur mesure pour les ignares et parvenus ben Ali et Trabelsi. Le problème est qu'un minable dans une Rolls, reste un minable. <br /> Si Chebbi parle de recréation en parlant de la révolution qui a fait l'admiration du monde entier, Chine comprise, c'est qu'il n'a rien compris et, sachant qu'il peut accéder au pouvoir, cela me fait peur, car il a le langage de l'ancien tyran. A ton avis pourquoi il a quitté le gouvernement?

Tu penses que ceux qui ont chassé Ghannouchi est la même jeunesse qui a commencé la révolte? Bellahi fiq ala rouhek. Des mecs comme toi, qui vu la commande de la langue Francaise ne faisaient clairement pas partie des désouevrés de l'arrière pays, mais qui depuis le confort de son Chesterfield, se la joue révolutionnaire de gauche de la onzième heure, ami des pauvres et nous raconte son indignation depuis les dernières vacances à St Tropez, on n'en a franchement très peu besoin tout de suite pour bâtir une stabilité nécessaire qui nous évite de virer au à une nouvelle forme de dictature. Quelque chose me fait croire que, quelque soit le régime, cela ne change pas grande chose à ton quotidien. C'est agacant à la fin ce sophisme, c'est de la br*****te intelectuelle.<br /> Esshih, c de comprendre que "le gouvernement de transition de Ghannouchi" était une facade pour 6 mois pour montrer qu'pn descends dans la rue pour l'essentiel, par pour tout, sinon, comme dis Chebbi, "la recrée est finie" et notre révolte bien Tunisienne et bien civique, tourne à une mascarade quasi Eyptienne, ou on peut se croire libéré mais on n'a jsute que changé le representant du même système.

il fallait écrire:<br /> Ils ont quitté la Place qui est devenue le symbole de la lutte lorsqu’ils SE sont aperçus...

Ils se sont battus pour faire chuter Ben Ali, ils se sont battus pour faire partir les ministres de Ben Ali, ils se sont battus pour faire partir le sourd-muet Ghannouchi. Ils se sont battus pour arracher la promesse d’élections d’une Assemblée constituante et d’élections présidentielles transparentes et libres. « ILS », ce sont les jeunes tunisiens libres. Ils ont une culture politique étonnante et on aurait dû les écouter depuis le début pour gagner du temps, faire l’économie de vies humaines et remettre rapidement le pays au travail sous l’étendard d’une liberté préservée. La fouine Ghannouchi ne l’entendait pas de cette oreille et il aura tout essayé pour ralentir le pays, pour imposer les suppôts de la tyrannie et les traitres satellites qui mettaient, par des calculs machiavéliques, des entraves à la liberté. Certains compatriotes, ici même, ne voyaient que l’infortune de quelques individus, victimes d’une insurrection passagère garantissant notre liberté enfantée dans la douleur. Ils ont oubliés que c’est à cette jeunesse révoltée et responsable que nous devons tout. Ils ont oubliés qu’une révolution ne s’arrête pas avec la chute des tyrans et leurs créatures diaboliques mais qu’elle doit continuer jusqu’à l’instauration des bonnes lois qui assurent notre repos. Ils ont oubliés que la révolution française a mis un siècle pour aboutir, au prix d’insupportables sacrifices, à la démocratie et à la liberté. Le sit-in des jeunes de la Kasbah, c’était un devoir, une injonction de leur conscience et de leur responsabilité vis-à-vis de l’Histoire de notre nation. Ils ont quitté la Place qui est devenue le symbole de la lutte lorsqu’ils ce sont aperçus qu’une partie de leurs demandes est satisfaite. Mais ils ont promis de rester vigilants. Ils attendent que les criminels, les vampires, les opportunistes, les traitres et les dilapidateurs des biens publics soient jugés en public. Ils attendent que la police politique criminelle soit dissoute et ses chefs traduits en justice. Ils attendent que le RCD soit définitivement hors d’état de nuire et ses biens rendus à la population. Ils attendent que l’économie de demain réponde à l’attente de la Tunisie d’en bas, la Tunisie laborieuse, la Tunisie réduite à la misère et dépouillée par une minorité cupide et criminelle. Ils attendent une juste redistribution des richesses, seule en mesure de dynamiser l’économie du pays et lui assurer un progrès sain et durable.<br /> <br /> Qui pourra dire que les jeunes qui ont chassé Ghannouchi et le clan du pouvoir mafieux, sont des émeutiers irresponsables? Qui pourra dire que ces jeunes qui ont des revendications politiques, économiques et sociales structurées et justes mettent le pays en danger de faillite? C’est sûrement cette faction odieuse qui a un butin à conserver, un avantage mal-acquis à préserver, cette vieille catin qui sait, au petit matin, remonter ses bas pour se faire présentable et se maquiller pour se donner une allure honorable. Si cette faction est experte des structures de la falsification et de l’apparence trompeuse, notre jeunesse maitrise parfaitement l’art redoutable de débusquer les faux semblants et les faux-culs. C’est cette jeunesse là qui conduira, j’en suis sûr, cette révolution jusqu’à sa maturité. J’aurais voulu avoir vingt ans…