13 juillet 2023
Le Prophète
Je ne sais pas vous mes amis, mais moi je désespère de la Tunisie.
J'en arrive à un point où je pense que nous sommes bien loin des luttes contre la dictature... avec Kaïs Saied nous sommes entrés en lutte contre l'inhumanité et l'abjection.
Cette lutte est d'autant plus difficile, que la société civile est démissionnaire et que la population dans son ensemble, lassée par 10ans d'errance démocratique, voit en Saïed le moindre mal.
Alors que la Tunisie sombre dans l'abomination des pogroms voire d'un génocide contre nos frères et nos amis subsahariens, le peuple préfère applaudir les exploits d'Ons Jabeur à Wimbledon.
Kaïs SAIED est le PREMIER responsable et coupable de cette horreur. Il nous entraîne tous avec lui dans sa monstruosité. C'est pourquoi dégager ce sinistre personnage du pouvoir est une nécessité. Il en va de notre honneur et de notre dignité.
Rappelons à cet effet, que ce personnage s'est accaparé les pleins pouvoirs et qu'il s'est rendu lui-même responsable et coupable de tout ce qui se passe depuis 2 ans. Mais l'ignominie de ce monsieur va jusqu'à faire porter à ses opposants tous ses torts, ou à s'inventer des ennemis imaginaires pour se laver les mains de la catastorophe dont il est l'auteur.
Rappelons à cet effet, que ce personnage s'est accaparé les pleins pouvoirs et qu'il s'est rendu lui-même responsable et coupable de tout ce qui se passe depuis 2 ans. Mais l'ignominie de ce monsieur va jusqu'à faire porter à ses opposants tous ses torts, ou à s'inventer des ennemis imaginaires pour se laver les mains de la catastorophe dont il est l'auteur.
Dans ma modeste contribution au débat public (ce qu'il en reste), je vous présente chers amis, une BD qui n'offre aucune solution, et qui ne présente aucune proposition concrète. Elle n'est que l'ultime défouloir d'un citoyen désespéré. Elle m'a été inspirée par une émanation céleste qui m'a frappé l'esprit lors d'une promenade au mois de Mai aux environs de Boukornine. Cette BD devait être en couleur, mais j'ai opté pour le noir et blanc.
la Tunisie est devenue bien sombre...
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